- EAN13
- 9782764644966
- Éditeur
- Éditions du Boréal
- Date de publication
- 06/09/2017
- Collection
- Liberté grande
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
Voici un cinéaste qui a conservé son indépendance mais qui ne tourne plus.
Fort de vingt-sept films, dont le premier, « L’Homoman », a été tourné en 1963
avec une Bolex à ressort et de la pellicule périmée, Jean Pierre Lefebvre
livre dans cet essai sa pensée sur le langage cinématographique et évoque sa
pratique forcément combative du septième art. Le réalisateur « d’Il ne faut
pas mourir pour ça », de « Jusqu’au cœur » et des « Maudits sauvages »,
s’interroge sur ce qui, des jeux de son enfance à ses films, a pu l’orienter
vers un cinéma de création-invention, celui de la poésie du regard. Loin du
cinéma-spectacle. Au cœur de l’acte de créer.
Fort de vingt-sept films, dont le premier, « L’Homoman », a été tourné en 1963
avec une Bolex à ressort et de la pellicule périmée, Jean Pierre Lefebvre
livre dans cet essai sa pensée sur le langage cinématographique et évoque sa
pratique forcément combative du septième art. Le réalisateur « d’Il ne faut
pas mourir pour ça », de « Jusqu’au cœur » et des « Maudits sauvages »,
s’interroge sur ce qui, des jeux de son enfance à ses films, a pu l’orienter
vers un cinéma de création-invention, celui de la poésie du regard. Loin du
cinéma-spectacle. Au cœur de l’acte de créer.
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